mercredi 8 août 2007

Je suis suivi

Ils sont partout. Dimanche soir, suite à un joyeux repas d'anniversaire sur les toits de Paris, je prends tranquillement le métro avec Vehuel et Nergal. Après quelques arrêts, les voilà. Ils sont quatre. Ils ont des visages déformés par la folie. Evidemment, Ils portent leurs armes de destruction massive bien en évidence. Ils n'hésitent même pas à s'en servir durant toute la durée de leur séjour dans la rame. Afin de ne pas choquer les plus sensibles d'entre vous, je n'évoquerai pas ici mes souffrances tant physiques que morales.

En vérité, je vous le dis : depuis que j'ai dénoncé avec d'autres leur crime contre l'humanité, une foule d'hystériques de cet instrument honnis qu'est le djembé (peut-être tous) me persécutent ! Et, de fait, Ils sont partout. Ils m'en veulent. Et, pire encore, Ils ont toujours l'air heureux.


Note pour plus tard : clouer un djembé mort sur la porte.

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