lundi 31 mars 2008

Un an de blog'note

Et voilà, mon premier anniversaire de blog'note. Plus ou moins sur rien, plus ou moins actif et plus ou moins intéressant. Heureusement, en tant que lecteur assidu de ma pomme, j'arrive tout de même à me laisser des souvenirs quand bien même je me trouve moi-même une façon assez labyrinthique d'enrichir ce blog'note... (*)



Note pour plus tard : ne recommander à personne de commencer un blog'note.

(*) Tellement labyrinthique que ce message a été rédigé en particulier en mai (comme en août) lorsque j'ai constaté que je tapotais depuis plus d'un an. ^_^

jeudi 6 mars 2008

Anonymat bancaire

Comment découvrir l'amour des banques pour les particuliers ?

Simple, faites comme moi : faites absorber votre carte de crédit par le premier distributeur de billets venu. Vous devenez aussi sec Personne en personne pour votre réseau bancaire favori... à moins bien entendu d'avancer quelques menues monnaies — monnaies que vous n'avez point, histoire de créer de nouveaux paradoxes identitairologicobancaires.

Bizarrement, la disparition de cinq milliards d'euros par suite de bidouilles d'un pauvre trader breton (*) m'a fait bien moins d'effet, même quand on m'a dit le nombre de repas au restaurant chinois que cela représentait. Oui, dans un monde économique, il n'est pire chose que de se sentir tout nul en devenant un zéro bancaire.


Note pour plus tard : mettre sous mon matelas la moitié de mon compte en banque en espèce et en nems.

(*) En passant, reconnaissons aux bretons — qu'ils soient traders ou autre — le fait que, quand ils font des bêtises, ils y vont à fond et de façon bien remarquable.

dimanche 2 mars 2008

Argument philosophique

Je dois confesser un copieux retard dans mes billets (il m'est arrivé des trucs pour changer un peu) mais je ne pouvais manquer de vous placer au moins ce qui suit.

Je voulais placer parmi mes notes un document historique majeur auquel j'ai fait référence dans une controverse aux enjeux — n'en doutons pas — fabuleux. En effet, il vous aurait suffit de constater le niveau de bêtise infâme de mon contradicteur du jour pour comprendre que les enjeux ne pouvaient être que fabuleux pour lui. D'ailleurs, le centre de la controverse illustre amplement le problème : «la publicité dit-elle la vérité ?». Pour ma part, j'ai vite mis fin au sujet en indiquant que j'attendais toujours le passage de Mme Marie-Pierre Casey pour nettoyer ma table de séjour.


Merci donc à Mme Marie-Pierre Casey pour cette victoire dialectique.


Note pour plus tard : la raison de Casey est toujours la meilleure, nous l'avons prouvé tout à l'heure.