Ce phénomène fait tellement partie de l'ordinaire parisien que personne n'y pense. Cela rappelle l'illusion d'optique du vase : nous ne voyons qu'un vase là où il faudrait voir aussi les deux visages silhouettés par le vase. Dans mon cas, il a fallu que j'arrive un jour à la gare de Brest pour réaliser combien nous étions privés de ciel à Paris. À peine étais-je sorti de la gare que la moitié de ce que je pouvais voir était constitué d'un vaste ciel breton ! Un tel contraste m'a frappé et m'a conduit à mon retour à Paris à chercher à observer plus ce si discrêt ciel parisien.
En exemple, voici deux photos (la première date du 25 avril, la seconde de ce jour).


Note pour plus tard : ajouter d'autres photos du ciel.
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