- le niveau de la mer entame une escalade de 60 mètres encouragé par un réchauffement climatique motivé ;
- la mère de toutes les météorites vient faire son trou sur Terre ;
- le supervolcan présent sous le parc de Yellowstone se lance dans les spectacles pyrotechniques à grande échelle (à moins qu'un de ces confrères ne lui pique la vedette) ;
- une supernova massive nous envoie, en visant 'achement bien, un «sursaut gamma» détruisant la couche d'ozone, nous permettant de découvrir les joies de coups de soleil perpétuels ;
- le facétieux champs magnétique terrestre s'inverse laissant, le temps de faire son acrobatie, le Soleil nous faire tester ces rayonnements les plus percutants.
Charmant, n'est-il pas ? Le moindre p'tit phénomène physique faisant l'objet d'une émission télévisée a toutes les chances de pouvoir transformer votre prochain en une espèce en voie de disparition.
Dans le même ordre d'idée, le scénario d'une destruction de l'humanité le plus incroyable que j'ai croisé m'est tombé dessus exceptionnellement par écrit ce jour. Il ne fait pas intervenir le hasard ou les forces de la Nature; il ne nécessite que notre incroyable capacité à vouloir dire «bonjour» au reste de l'univers !
Du coup, qu'on me permette cette hypothèse sinistre donc apparemment très scientifique médiatiquement : n'y aurait-il pas comme une terrible épidémie de pessimisme dans le monde des sciences illustrées ?
Note pour plus tard : ne pas inviter de scientifique et de journaliste scientifique dans mon bunker himalayien.
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